Juste à côté de moi

La Joie de Lire, 2015
Illustrations : Julien Billaudeau
EAN 978-2889082650

Sélection Opalivres 2015
Livre Élu en Livradois-Forez 2015-2016
Sélection Prix Bernard Versele 2018 (Belgique)

L’HiSTOiRE :
Victor et Igor sont copains, inséparables comme les deux doigts de la main.
Et pourtant leurs vies sont si différentes…

 

 

“Un bijou narratif et graphique que toutes les écoles et toutes les bibliothèques devraient étudier et posséder !”
Le Grenier à livres

“Voici un album qui devrait être offert à tous les enfants ou bien remboursé par la sécurité sociale.”
Appelez-moi Madame

“Un récit en miroir… une idée originale et intéressante.”
Les lectures de Mistigris

“Une manière tendre mais réaliste de mettre en lumière les différences sociales.”
Le coup de coeur du CRDP de Paris

“Un livre sur l’amitié d’enfants de conditions familiales et sociales différentes… que l’école rapproche. Beau sujet !”
Opalivres

“Une histoire poétique sur le quotidien et ses différences.”
My little kids

“Cet album original permet d’aborder avec bon sens l’actualité de notre société.”
Libre-R et associés

“Un album qui peut donner l’occasion de discuter avec les enfants en classe et d’aborder des sujets sociaux.”
L’Atelier de Ramettes

“Un travail délicat et élégant pour des questions fascinantes : quelles sont les toutes petites ou plus grandes choses qui font le terreau de la tristesse, de la solitude ou tout simplement de la différence ?”
La chronique de Valérie Meylan pour Ricochet

“Raconter aux enfants les différences sociales, le quotidien des plus pauvres et d’autre part la solitude et la souffrance de ceux que l’on croit privilégiés n’est pas une mince affaire mais Sigrid BAFFERT y réussit très bien.”
La marmite à lire

“Un bel album sur la pauvreté et les différences sociales, tout en subtilité, sans misérabilisme.”
Dans la malle de Marion Suzon

“Cela permet d’aborder le sujet en douceur et de pourvoir en discuter avec les enfants une fois le livre refermé. (…) Cet album plaira autant aux petites filles qu’aux petits garçons grâce à son sujet universel.”
Langue Déliée