2020

2019 se referme avec ses bourrasques, 2020 s’ouvre (et d’où viendra le vent ?)

Anyway, il y aura un nouvel envol de Krol à paraître le 1er avril à l’école des loisirs : Krol, le fou qui mangeait les étoiles, toujours sous les pinceaux virevoltants d’Aurore Callias.

2020, une année lancée vers le théâtre, avec les Falopes, une pièce qui sera jouée à l’automne par la Compagnie les gOsses, avec Mavikana Badinga, Hélène Cauet, Marie-Béatrice Dardenne, Morgane Grzegorski, Stéphane Piasentin et Marianne Wolfsohn.

Et puis les premiers germes d’un nouveau roman, aussi.

 

Nouvelle parution

Un nouveau roman illustré en librairie ce jour aux éditions MeMo, dans la collection Polynie dirigée par Chloé Mary : La Chose du MéHéHéHéHé.
Un clair-obscur océanique sublimé par les pinceaux de Jeanne Macaigne.

C’est inspirée par le travail de Jeanne Macaigne – en particulier son album “Les coiffeurs des étoiles”- et par un lieu fort insolite au coeur de l’océan Pacifique que j’ai écrit cette histoire, entre fable humoristique et conte aquatique.

Plus de détails sur la Chose.

L’article TTT de Michel Abescat dans Télérama.

Je vous invite à faire aussi un tour sur le site de MeMo, pour y découvrir d’autres images ainsi qu’un entretien avec Jeanne Macaigne.

Et puisqu’on parle d’entretien, voici un “Flati-flutis dans le MéHéHéHé”, un échange autour du roman réalisé avec Chloé Mary pour les Nouvelles de Polynies, On est bien peu de Chose et Ce qui fait la noblesse d’une Chose.

Ce texte sera le douzième et dernier titre des Polynies, qui stoppent leur envolée littéraire, alors, dès l’automne j’invite les lecteurs à découvrir ou redécouvrir cette collection si atypique.

Un immense merci à Chloé Mary pour son approche unique de la création et de la littérature, et pour nous avoir ouvert un si magnifique trou dans la glace…

Cafés Littéraires

Montélimar et son sublime tourbillon des Cafés Littéraires.
Retour d’une manifestation littéraire unique, qui fête ses 24 ans.
Des rencontres-lectures nourrissantes autour de Tous les bruits du monde.
Des élèves de troisième du collège Europa ayant découvert les 408 pages du roman en voyage collectif à voix haute (quel professeur de français est capable de consacrer plus de vingt heures de lecture en cours, mille mercis à Sophie Audigier et Cécile Moulain pour ce marathon fabuleux…)
Une rencontre croisée avec Daniel de Roulet et ses Dix petites anarchistes, au salon d’honneur de l’hôtel de ville de Montélimar, “L’exil pour construire son destin”.
Une rencontre traduite en langue des signes au restaurant le P’tit Zeste du Teil.
Une rencontre à la Petite Soupape, (encore merci à Sophie Audigier).
Un grand coup de chapeau à toute l’équipe des Cafés littéraires, à Guillemette, aux bénévoles.

Tout le programme.

Théâtre en germe

Premiers essais de lecture en espace d’une pièce de théâtre qui sera jouée à l’automne 2020, « Les Falopes ».
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Il y a deux ans, Karine Dedeurwaerder de la Cie les gOsses en Picardie m’a proposé un projet exaltant. Écrire une pièce pour cinq comédiennes et un comédien.
L’idée me plaît, me bouscule. Mais je doute. En suis-je capable ? Au roman, à l’album ou au conte musical, je commence à être aguerrie, mais au théâtre…
« Tu as une envie particulière ? » je demande à Karine.
Oui, elle a même une idée très précise. Elle me l’expose.
C’est un sujet fort. Plein de chair et d’ombres. Un sujet percutant qui résonne en moi longtemps.
« Alors ? » questionne Karine.
« Alors, banco ! »
Je ne pose qu’une seule condition : partir des comédien(ne)s. Je ne veux pas écrire dans mon coin. Aujourd’hui, ce qui me porte dans la création, c’est avant tout l’humain.
Je sais que Karine vient de me faire là un sacré cadeau…

Plus de détails sur cette aventure théâtrale.